Partir à New York avec une impression de toucher les
étoiles, voyager à l’autre bout du monde en aussi peu de temps qu’il vous faut
pour aller chez le boulanger. C’est ce que nous proposent aujourd’hui Airbus et
EADS avec leur projet d’avion du futur. Présenté le mois dernier au salon
international de l’aéronautique du Bourget, le projet d’avion du futur pourrait
être mis en service dés 2050 avec pour optique de rallier Paris-Tokyo en moins
de deux heures du jamais vu dans la technologie aéronautique.
Ce petit bijoux de la technologie a ainsi était
imaginé dans les moindres détails. Un toit en verre, des panneaux solaires pour
la production d’électricité amélioreraient l’aérodynamisme de l’avion lui
permettant de battre des records.
Mais
ce nouveau design permettrait aussi d’offrir une vue panoramique sur le monde à
ces passagers. De jour comme de nuit car aussi incroyable que sa puisse être la
paroi vitrée s’adaptera aux conditions de luminosité de l’extérieur grâce à une
membrane intelligente. Plus encore, celle-ci s’adaptera au soleil et donnera
des informations aux passagers tout au long de leur voyage. Au moment de
survoler un point d’intérêt, le toit en verre affichera des hologrammes pour
expliquer les données géographiques.
Les sièges seront quant à eux dotés d’une
intelligence, ils épouseront parfaitement la morphologie du passager, seront autonettoyant
et sauront se réparer de manière autonome. Plus encore, d’après Airbus ceux-ci
pourront même nous proposer des séances d’aromathérapie ou d’acuponcture.
Encore plus étonnant pour un avion d’une telle
qualité, la suppression des classes économiques et affaires annoncé par Airbus.
L’avion sera séparé en deux certes, mais à l’avant on pourra retrouver un
espace dédié au repos et à l’arrière un espace consacrée à l’interactivité. Au
sein de l’avion du futur, il sera aussi possible de faire son shopping ou encore
de faire une partie de golf.
En 2050, c’est donc un voyage aussi surprenant que
fascinant qui nous attend à la découverte de l’avion de demain.
Un voyage vers l’infini et au-delà.
Source : Le parisien
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